Vers les J52
« Je suis ce que je dis ». Voilà un titre qui, sans le sous-titre qui l’accompagne, nous ferait rêver à des lendemains qui chantent pour le sujet parlant. Mais, un sous-titre, il y en a un : « Dénis contemporains de l’inconscient ». Alors là, tout change. « Je suis ce que je dis » pourrait, à suivre ce sous-titre, être une formule contemporaine pour reléguer l’inconscient aux oubliettes. Continuez la lecture...