Cette rubrique du Courrier se fait l’écho des activités ayant eu lieu dans la région.
J’ai eu l’occasion de rencontrer des enfants dits » « perturbateurs », des enfants dits « hyperactifs », dits « TDAH ».
À chaque fois, au-delà des manifestations corporelles et des difficultés comportementales et relationnelles, j’ai pu noter une dimension trop peu évoquée dans les observations médicales, scolaires ou environnementales. Continuez la lecture...
La délégation Brive-Limoges-Tulle de l’Association de la Cause freudienne en Massif central a lancé une invitation de rencontre Café-cartels, dans la perspective d’un nouage de son activité locale au dispositif du cartel, en lien direct à l’École de la Cause freudienne. Continuez la lecture...
À Clermont-Ferrand, le 5 novembre 2022 s’est déroulée la projection de MITRA, œuvre artistique inclassable, documentaire et opéra, classique et contemporain, de Jorge León.
À l’initiative de Valentine Dechambre, l’Association de la Cause freudienne en Massif central, en partenariat avec le Festival Musiques Démesurées, a organisé ce moment en deux temps : la projection de MITRA dans une version scénique inédite durant laquelle l’interprète lyrique Claren McFadden a chanté une aria live, et une conversation avec J. Continuez la lecture...
Membres de l’ACF en Massif central à l’antenne Bourges-Nevers depuis plusieurs années, nous poursuivons notre but : créer et maintenir une communauté de travail pour faire exister la psychanalyse d’orientation lacanienne dans ces deux villes.
En « travailleurs décidés », nous nous sommes d’abord attelés à la lecture des textes de Freud et de Lacan sous l’intitulé « Atelier de lecture ». Continuez la lecture...
Ce 10 juin 2022, à Montluçon, Jacqueline Dhéret était bien là. Elle était très attendue.
C’est pour une conversation à l’appel du Laboratoire « Tokonoma » du Centre Interdisciplinaire sur l’Enfant (CIEN) de Montluçon, qu’elle avait, avec joie et un désir décidé, parcouru le chemin depuis Lyon où elle travaille. Continuez la lecture...
« Je suis ce que je dis ». Voilà un titre qui, sans le sous-titre qui l’accompagne, nous ferait rêver à des lendemains qui chantent pour le sujet parlant. Mais, un sous-titre, il y en a un : « Dénis contemporains de l’inconscient ». Alors là, tout change. « Je suis ce que je dis » pourrait, à suivre ce sous-titre, être une formule contemporaine pour reléguer l’inconscient aux oubliettes. Continuez la lecture...
La soirée préparatoire de l’ACF en MC intitulée « Le sujet contemporain, son discours, dans l’institution » en direction des J52, a été l’occasion d’interroger le dico « Je suis ce que je dis » à partir d’une pratique clinique orientée par la psychanalyse en institution. J’ai répondu à l’invitation de la déléguée régionale Laurence Charmont, à partir de la place que j’occupe comme psychologue travaillant dans une administration. Continuez la lecture...
Comment mon travail en pédopsychiatrie peut-il faire résonner le titre de ce soir : « Le sujet contemporain, son discours, dans l’institution [1]» ? Ai-je affaire au dico tel que saisi par Jacques-Alain Miller [2] ? Auto-affirmation, identité auto-produite, revendication identitaire, comment repérer ce dico dans le discours d’un enfant ? Continuez la lecture...
Samedi 19 mars 2022, tout est prêt. Nous accueillons notre collègue et ami Philippe Bouret [1] pour un moment de nouage du travail mené par les participants de l’atelier de lecture autour du thème « Le réel, cause du semblant ». Il a accepté avec plaisir de venir à Aurillac. Continuez la lecture...
Le 24 mars 2022 avait lieu en visioconférence la troisième rencontre de l’atelier d’étude de l’antenne du Puy-en-Velay sur le thème Couleurs mâle, titre du recueil de portraits publié à la suite des J51 de l’École de la Cause freudienne.
La lecture de ces textes nous a amenés sur les chemins de vie de parlêtres qui nuancent les couleurs, de façon si singulière, sur la palette d’hommes et de femmes…
Ainsi le travail de l’atelier se maintient en lien avec l’actualité de l’École sur la norme mâle, la féminité, la sexuation, le genre…
Ce soir-là, la conversation a été initiée par Virginie Marcel qui avait choisi de nous parler du texte de Virginie Leblanc [1] intitulé « Virginie Despentes, Virile [2]». Continuez la lecture...
